Au matin du vendredi saint, nous faisons nôtre la prière des psaumes alors que nous veillons dans nos ténèbres.
Plus tard, nous suivons le Seigneur, traîné dans une parodie de procès et condamné à mort. C’est le temps de la mémoire de la Passion.
Celui qui avait dit qu’ « il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis » donne sa vie pour la vie du monde. Nous posons les yeux sur la croix du Seigneur. Nous nous prosternons devant sa croix. Nous adorons sa croix qui nous sauve. Nous intercédons au pied de la croix, notre force au cœur même de notre faiblesse.
Vient le soir, enfin et le moment de l’ensevelissement. C’est l’heure de la mémoire du tombeau.