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Pour l’année 2025, les prières et réflexions de la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens ont été préparées par les frères et sœurs de la communauté monastique de Bose, dans le nord de l’Italie. Cette année marque le 1700ème anniversaire du premier concile œcuménique chrétien, qui se tint à Nicée, près de Constantinople, en 325 après Jésus Christ. Cette commémoration nous offre une occasion unique de réfléchir à la foi commune des chrétiens et de la célébrer, telle qu’elle est exprimée dans le Credo formulé lors de ce concile ; une foi qui, encore aujourd’hui, reste vivante et porte des fruits. La Semaine de prière pour l’unité des chrétiens 2025 est une invitation à puiser dans cet héritage commun et à pénétrer plus profondément dans la foi qui unit tous les chrétiens.
L’impératif est paradoxal pour un sentiment spontané par nature : la joie éclot dans un cœur surpris par ce mouvement comme lorsqu’on « éclate de rire ». Mais certaines circonstances exigent la réjouissance : les noces sont de celles-là. Pourtant, tous les mariages ne sont pas sans nuages. Tant de facteurs entrent en compte qui…
Curieuse formule qui frôle le pléonasme : l’espérance n’est-elle pas une sorte d’attente ? C’est pourtant littéralement le texte grec de la lettre à Tite que nous entendons aujourd’hui en deuxième lecture, où le liturgiste insère les mots « que se réalise » dans l’expression : « attendant que se réalise la bienheureuse espérance »1…
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[…] une sentinelle ne doit pas seulement veiller, elle doit aussi se placer en un lieu stratégique en sorte de voir, avant les autres, ce qui survient et pouvoir ainsi le pré-annoncer à ceux pour qui elle fait la sentinelle. Tels sont les chrétiens : ils ont vu, dans la foi, l’avènement du Messie attendu par Israël, avant sa manifestation glorieuse. […]
Georges Lauris (+ 2014) apparaît comme l’un des poètes chrétiens les plus importants du XXième siècle. Philosophe, théologien mais surtout poète, il était aussi un merveilleux conteur. Il aimait à parler de sa “foi romane” : une foi dépouillée, rude capable de toutes les compassions mais aussi lumineuse et jubilatoire. Un poème pour la Nativité !
Qu’est-ce que la semaine préparatoire à Noël ?